Anne Dodemant a écrit ce livre entre le premier et le deuxième anniversaire de la mort de son fils Luc.
Il avait presque 29 ans et il était atteint d’une maladie mentale. Sa souffrance était telle qu’il a choisi le suicide. Elle partage son cheminement émotionnel avec beaucoup d’authenticité. Les mots s’enchaînent avec précision et réalisme ; ils racontent son vide, ses questions, ses essais, sa détresse, ses soutiens, ses déceptions. Ils disent aussi comment elle choisit la vie, avec lui et autrement.
Bonne lecture !
Les propos repris ci-dessus n'engagent la responsabilité que de l'auteur de cette critique.